vendredi 30 octobre 2009

L'ÉNERGIE LIBRE AU QUOTIDIEN

Bonjour à tous,

Je réfère les nouveaux lecteurs à mon article précédent sur "L'énergie libre comme solution aux changements climatiques". Si Tesla avait prévalu, nous n'en serions pas là à chercher des solutions pour réduire la pollution. Il n'y aurait tout simplement pas de pollution, ou si peu...

Je vous invite à lire le livre de Jeane Manning, journaliste scientifique, qui a vraiment fait le tour de la question. Je vous souligne qu'avant de faire des recherches en vue d'écrire son livre, elle ne croyait pas à l'énergie libre.

Comment intégrer dans notre quotidien une énergie invisible, illimitée, incolore, inodore, et surtout gratuite, qui nous entoure et qui provient de l'espace? Voici ce qu'en dit Jeane Manning, à la page 248 de son livre:

"À quoi ressemblerait un monde disposant des nouvelles énergies? Envisageons les possibilités:
Au lieu de mener des guerres du pétrole ou de soutenir financièrement les centrales nucléaires, les gouvernements convertissent les centrales de manière à fonctionner aux technologies énergétiques non polluantes, et mènent des projets d'assainissement de grande envergure. Mais la majeure partie de l'électricité est produite par des appareils privés, de tailles variables: depuis le générateur dans son jardin jusqu'à la centrale assez puissante pour éclairer toute une ville.

Les océans, les rivières et les forêts ne sont plus menacés d'être à nouveau contaminés par des déchets radioactifs, des pollutions de pétrole ou des pluies acides.

Sur les autoroutes et dans les villes, la circulation bourdonne tout doucement, le rugissement des moteurs à combustion interne appartenant au passé. Même au centre des villes, l'air sent bon et pur. Les personnes qui font du jogging le long des voies rapides peuvent se remplir les poumons d'air propre et frais.

Comme les cheminées des centrales crachent moins de produits polluants, la terre devient partout plus propre et se refait une santé. Et le fait qu'il n'y a plus de moteurs à essence ou à diesel qui éjectent des métaux lourds par leur pot d'échappement contribue à ce rétablissement. Par conséquent, les fruits, les noix et les légumes peuvent pousser partout, depuis les zones vertes jusque dans les jardins derrière les maisons en pleine ville. Quiconque possède un toit plat peut construire une petite serre, qu'il pourra chauffer en hiver avec des appareils sans combustibles.

Les avions à réaction sont convertis à utiliser de l'eau comme combustible, grâce à une technique qui permet en même temps de décomposer les oxydes chimiques qui, aujourd'hui, contaminent l'atmosphère. C'est ainsi que les avions régénèrent la couche d'ozone dans la couche supérieure de l'atmosphère, au lieu de la détruire. Ceci va permettre de résoudre un tas de problèmes, depuis le cancer de la peau chez les hommes jusqu'au dépérissement du règne végétal.

Un très grand nombre d'emplois constructifs apparaissent sur le marché du travail, grâce à la combinaison d'une énergie propre et abondante et d'une transition graduelle à des technonologies en harmonie avec la nature.

La vitalité des gens augmente, car ils respirent un air riche en oxygène, boivent de l'eau non polluée et consomment des aliments sains, et cela leur permet de développer une merveilleuse spirale divergente de confiance, de créativité et de détermination à résoudre les problèmes de l'humanité.

Quel genre d'appareils pourrait-on trouver sur le marché?"

Pour connaître la réponse à cette question, je vous invite à suivre mon blog dans les prochaines semaines.

"Oui, mais pourquoi ça n'a pas émergé avant", me direz-vous? La réponse est simple: Ce n'est pas payant pour les multinationales, vous savez, celles qui financent les partis politiques? On consomme de moins en moins de médicaments, puisqu'il y a moins de pollution. Et le pétrole.. Moins de taxes dans les poches de nos gouvernements.. Et Hydro-Québec... oh là là, la vache à lait de notre gouvernement. Et nos emplois? Oh là là que nous avons peur de perdre notre prétendue "sécurité" qui nous pousse, inconsciemment, à avoir des emplois que nous n'aimons pas, auxquels nous nous accrochons malgré tout. Notre peur de l'inconnu est hélas plus grande que notre inconfort actuel. Et vous savez quoi? Je crois que nous avons peur, très peur, de perdre notre confort actuel.

Je vous cite des extraits d'un article que j'ai lu récemment sur un homme qui a inventé une éolienne qui produit de l'eau et de l'électricité.

"Dans les Alpes, on a un air sec. Si ça marche ici, ça fonctionnera encore mieux dans les pays chauds." La prochaine version prévue en 2010 pourra produire 1000 litres quotidiens. "Plus l'éolienne est haute, plus elle produit. Avec un mat de 50m, on pourrait collecter 25000 litres par jour." Contacté par de grandes puissances mondiales, Marc Parent attend aujourd'hui des réponses d'industriels indiens et américains afin de produire son invention en série et ainsi faire baisser les coûts, car "pour aider les plus pauvres, il faut vendre la technologie aux plus riches afin qu'ils la commercialisent, confie-t-il. Au Texas et en Californie, ils connaissent bien la sécheresse. Au Moyen-Orient, ils ont recours au dessalement qui pollue et modifie les écosystèmes. Ce n'est pas viable à long terme!" "Avec mon système, on peut même assurer le minimum vital, sans vent, dans des endroits très isolés."

Quel phénomène étrange permet à une éolienne de fonctionner sans sa matière première? Grâce à l'ingéniosité et l'huile de coude de son créateur! Transportable avec la possibilité d'un montage sans grue, un petit modèle (avec tout de même une capacité de 800 litres par jour) peut être couplé à des panneaux photovoltaïques, à des lignes électriques ou à un générateur "pour faire de l'eau à tout prix, sans vent ni soleil. En cas de catastrophe naturelle, les ONG peuvent approvisionner les populations sinistrées immédiatement en eau et en énergie!" "Deux en un", son éolienne extraordinaire produit de l'eau mais aussi des watts. "Quand on a un air sec la journée et humide le soir, on peut s'en servir pour faire de l'électricité le jour et de l'eau la nuit par exemple." Incroyable mais vrai! Grâce à son invention, une révolution énergétique est en marche. L'eau n'est désormais plus une denrée rare. Par Laure Gareta ( lgareta@laprovence-presse.fr )

Cet homme cherche des industriels pour financer la production de son appareil. Il va vendre son invention et perdre son droit de regard. Des compagnies vont le produire avec une intention complètement à l'opposé de la sienne, avec l'intention de faire des profits, pas pour le plus grand bien de tous. Certains ne pourront pas l'acheter, surtout ceux qui en ont le plus besoin (en Afrique). Si nous n'étions pas dans l'attente que le nouveau monde se crée de lui-même, nous pourrions financer tous ensemble cet homme (10$ ou 20$ chacun) et aider les peuples des pays en voie de développement. Nous pourrions transformer la vie sur notre planète et vibrer de la joie du cœur que l'on ressent lorsqu'on sait qu'on fait une différence, qu'on participe à cette grande communauté qu'est (ou que "pourrait" être) notre planète, si nous nous impliquions, si nous nous relevions les manches. C'est sûr qu'on se sent impuissant, seul chez soi, mais ensemble, nous pouvons déplacer des montagnes. Il faut simplement arrêter d'en parler, et passer à l'action. Cet homme n'imagine même pas que ses concitoyens pourraient contribuer à ce qu'il mette lui-même son invention sur le marché, dans un but de collaboration. Nous sommes conditionnés à penser qu'il n'y a qu'une seule façon de faire les choses. La vieille façon qui, de toute évidence, n'est pas à l'avantage de la collectivité.

Nous sommes dans l'attente que notre gouvernement fasse les choses, prenne les bonnes décisions pour nous. L'état est devenu notre papa. Comme un enfant met sa main dans la main de son père, sans se poser de questions, en toute innocence, nous avons remis notre pouvoir à nos politiciens. Il est temps de le reprendre! Et surtout, d'arrêter de gueuler sans rien faire. Il est temps de passer à l'action... avant que tout s'écroule

Nous sommes des spectateurs de nos vies. Je crois que l'habitude s'est prise en écoutant la télé. Nous avons appris à vivre par procuration, dans le confort de notre foyer. On regarde quelqu'un d'autre vivre des choses passionnantes à notre place, plutôt que de les vivre nous-mêmes. C'est sûr que c'est moins épeurant, moins risqué. Et surtout moins excitant! Je vous invite à éteindre la télé (ou l'Internet) pendant un mois. Vous serez surpris de tout ce que vous allez accomplir. Ou vous allez vous emmerder, vous mettre à vous ronger les ongles, engraisser de 10 livres, mourir d'ennui, ou vous allez passer à l'action, et c'est peut-être vous qu'on va voir à la télé, parlant de votre invention, ou interviewé par une journaliste qui parle de l'œuvre humanitaire que vous avez accomplie, de l'homme qui nourrit les oiseaux, de la femme qui a aménagé un espace dans son garage où tous les jeunes (anciens délinquants) du quartier se retrouvent et réparent des ordinateurs qu'ils distribuent aux moins nantis. Le temps est venu de donner place au rêve qui sommeille à l'intérieur de vous, vous savez, la petite voix qui dit "Si j'avais le temps, j'aimerais faire ceci, faire cela..." Ça fait des années que vous parlez de ce que vous aimeriez faire, si vous aviez le temps, ou peut-être que vous avez cessé d'en parler. Faites-le donc!

Reprenons notre pouvoir. Nous l'avons confié à des gens qui en sont maintenant assoiffés. Ils en deviennent accros. Ne les critiquons pas. Nous affectons notre santé, lorsque nous faisons cela, et gaspillons notre énergie. Nous leur avons remis notre pouvoir sur un plateau d'argent. Choisissons donc consciemment de le reprendre, car notre monde, c'est notre responsabilité. Et vous verrez que si nous changeons d'attitude, la leur va changer. Ils vont ressentir très rapidement notre nouveau choix et vont s'adapter. Ils n'auront pas le choix.

Vous savez, je pense que si j'étais en politique et que j'avais plein de gentils esclaves qui faisaient rentrer de l'argent dans mes coffres sans que j'aie trop d'efforts à fournir, peut-être que cela deviendrait enivrant pour moi. Surtout si ces gens-là ne faisaient que gueuler lorsqu'ils sont insatisfaits de mes services, tout en continuant à déverser malgré tout de l'argent dans mes coffres.

Lorsque j'observe les gens autour de moi, je réalise que notre relation à l'autorité ressemble à celle de la victime face à son tortionnaire, qui en vient à l'aimer parce qu'il lui apporte à manger, parce qu'il lui dit quelques mots, et elle en oublie qu'elle est enfermée dans une cage (parfois dorée!). On fait confiance, comme l'enfant qui met sa main dans celle de son papa, qui ne peut pas imaginer que son papa puisse faire quelque chose de très négatif. Face à l'autorité (les gouvernements), nous avons l'innocence de l'enfant. D'un côté, c'est très beau et, à la fois, cela peut être très nocif, car ce n'est pas papa qui est en face de nous, ce sont des gens qui ont leurs propres intérêts à cœur, qui ont peut-être aussi perdu de vue la raison pour laquelle ils étaient là.

Et si on choisissait de faire confiance à ce que nous sommes capables de créer et que nous avancions tous ensemble?

Lily Monier

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